Mes Chères Cheapies,
De vous à moi (mais ça reste entre nous), la cuisine moléculaire ça me fait peur.
Il y a quelques temps déjà, lors d’une soirée, j’ai surpris une conversation de personnes prévoyant de se faire un apéro-dinatoire sur ce thème.
Etant, pour ma part, une très grande adepte des apéros-dinatoires, j’aurai dû à ce moment précis sauter sur l’occasion pour m’incruster, tout en douceur, dans cette conversation et profiter de leur gentillesse pour fixer avec eux une date qui pourrait parfaitement coller avec mon agenda.
Sauf que je n’ai rien fait de tout cela !
Malheureusement – ou pas d’ailleurs – je n’ai pas profité de ce moment si privilégié pour moi d’ordinaire, tout simplement car les mots « cuisine moléculaire » réunis : ça ne me tente pas vraiment, mais alors pas du tout même !
C’est donc pour cela qu’aujourd’hui je repense à cette fameuse soirée d’antant (bon ok, c’est pas si vieux que ça…mais j’aime bien ce mot) et je me dis qu’un jour ça me retombera dessus et que je risque d’être dans une situation plus que gênante si je ne me penche pas de plus près sur la question : sait-on jamais ?!
Alors j’ai bien essayé de faire mes quelques recherches sur Internet, et c’est là que je m’aperçois que la cuisine moléculaire : « c’est chelou » (comme dirait notre célèbre poète Zao).
La cuisine moléculaire est la mise en pratique d’une discipline scientifique nommée « gastronomie moléculaire » qui vise la modélisation et l’exploration physico-chimique des différentes composantes de l’art culinaire et qui a été développée, notamment, par le Professeur Hervé This.
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